Le dynamisme de l’activité économique dans l’Union Economique Monétaire Ouest Africain(UEMOA) s’est consolidé au cours de l’année 2017, en relation avec la vigueur des secteurs secondaire et tertiaire.

La tendance apparait dans le Rapport sur les conditions de banques dans l’UMOA de l’année dernière.
Selon les dernières estimations, souligne la même source, le taux de croissance du PIB de l’Union augmenterait de 6,6% en 2017, stable par rapport aux réalisations de l’année précédente.
S’agissant des prix, ajoute ce document de la BCEAO, le taux d’inflation s’est inscrit en hausse, reflétant la progression des prix des produits pétroliers, en rapport avec l’orientation haussière des cours mondiaux du pétrole brut, ainsi que l’augmentation des loyers.
En effet, note la même source, dans la plupart des pays de l’Union, les prix du carburant ont été révisés à la hausse, dans le sillage de la remontée des cours internationaux du pétrole.
En moyenne annuelle, le taux d’inflation est ressorti à 0,8% dans l’UEMOA en 2017 contre 0,3% en 2016.
En 2017, le profil des finances publiques des Etats membres de l’Union a été marqué par la poursuite des efforts d’investissement dans les infrastructures et les secteurs sociaux, en vue de créer les conditions d’une croissance durable et inclusive, ainsi que par une hausse des dépenses courantes.
Le Rapport sur les conditions de banques dans l’UMOA en 2017 note que dans ce contexte, les opérations financières de l’Etat se sont soldées par une aggravation du déficit budgétaire par rapport à l’année 2016.
Ce référentiel indique que le déficit global, base engagements, dons compris, s’est établi à 4,7% du PIB en 2017, contre 4,4% un an auparavant.
A l’en croire, cette situation est consécutive à la hausse de 0,6 point de pourcentage du PIB des dépenses totales atténuée par l’augmentation de 0,4 point de pourcenLa tendance apparait dans le Rapport sur les conditions de banques dans l’UMOA de l’année dernière.
Selon les dernières estimations, souligne la même source, le taux de croissance du PIB de l’Union augmenterait de 6,6% en 2017, stable par rapport aux réalisations de l’année précédente.
S’agissant des prix, ajoute ce document de la BCEAO, le taux d’inflation s’est inscrit en hausse, reflétant la progression des prix des produits pétroliers, en rapport avec l’orientation haussière des cours mondiaux du pétrole brut, ainsi que l’augmentation des loyers.
En effet, note la même source, dans la plupart des pays de l’Union, les prix du carburant ont été révisés à la hausse, dans le sillage de la remontée des cours internationaux du pétrole.
En moyenne annuelle, le taux d’inflation est ressorti à 0,8% dans l’UEMOA en 2017 contre 0,3% en 2016.
En 2017, le profil des finances publiques des Etats membres de l’Union a été marqué par la poursuite des efforts d’investissement dans les infrastructures et les secteurs sociaux, en vue de créer les conditions d’une croissance durable et inclusive, ainsi que par une hausse des dépenses courantes.
Le Rapport sur les conditions de banques dans l’UMOA en 2017 note que dans ce contexte, les opérations financières de l’Etat se sont soldées par une aggravation du déficit budgétaire par rapport à l’année 2016.
Ce référentiel indique que le déficit global, base engagements, dons compris, s’est établi à 4,7% du PIB en 2017, contre 4,4% un an auparavant.
A l’en croire, cette situation est consécutive à la hausse de 0,6 point de pourcentage du PIB des dépenses totales atténuée par l’augmentation de 0,4 point de pourcentage du PIB des recettes totales et dons.
Sur le marché régional de la dette publique, précise la BCEAO, les émissions brutes de titres publics ont significativement diminué, en ressortant à 3.700,1 milliards contre 4.412,1 milliards un an plus tôt, en raison d’un recours important aux marchés financiers internationaux par les Etats de la Côte d’Ivoire et du Sénégal.
L’institution fait savoir qu’elles sont composées de 1.578,2 milliards de bons du Trésor et 2.121,9 milliards d’obligations.
Avant d’indiquer que la préférence des Etats continue de porter toujours sur les titres de long terme en vue de financer leurs projets d’investissements, notamment dans le domaine des infrastructures.
Ainsi, note la même source, en 2017, 57,3% des interventions ont concerné le compartiment obligataire après 65,1% en 2016.
Elle confie que la situation monétaire de l’Union à fin décembre 2017, comparée à celle de décembre 2016, est caractérisée par une progression de la masse monétaire (+7,5%), résultant de l’accroissement des créances intérieures et des avoirs extérieurs nets.
Et d’ajouter que l’encours des créances intérieures s’est accru de 10,1%, en relation avec la consolidation des créances nettes sur l’Administration Centrale et les crédits aux autres secteurs des économies de l’Union. Quant aux actifs extérieurs nets, ils ont progressé de 9,0%. tage du PIB des recettes totales et dons.
Sur le marché régional de la dette publique, précise la BCEAO, les émissions brutes de titres publics ont significativement diminué, en ressortant à 3.700,1 milliards contre 4.412,1 milliards un an plus tôt, en raison d’un recours important aux marchés financiers internationaux par les Etats de la Côte d’Ivoire et du Sénégal.
L’institution fait savoir qu’elles sont composées de 1.578,2 milliards de bons du Trésor et 2.121,9 milliards d’obligations.
Avant d’indiquer que la préférence des Etats continue de porter toujours sur les titres de long terme en vue de financer leurs projets d’investissements, notamment dans le domaine des infrastructures.
Ainsi, note la même source, en 2017, 57,3% des interventions ont concerné le compartiment obligataire après 65,1% en 2016.
Elle confie que la situation monétaire de l’Union à fin décembre 2017, comparée à celle de décembre 2016, est caractérisée par une progression de la masse monétaire (+7,5%), résultant de l’accroissement des créances intérieures et des avoirs extérieurs nets.
Et d’ajouter que l’encours des créances intérieures s’est accru de 10,1%, en relation avec la consolidation des créances nettes sur l’Administration Centrale et les crédits aux autres secteurs des économies de l’Union. Quant aux actifs extérieurs nets, ils ont progressé de 9,0%.