L’accès au financement est un problème majeur pour le développement de l’. Les recommandations de l’étude de l’étude  « Framing the Shot 2018 : Key Trends In African Film report » pose un problème  un problème d’actualité pou le cinéma africain.

Réalisée pour le Festival international du film de Durban 2018 par 234 Media, en partenariat avec la Goethe-Institut, l’étude donne quelques recommandations aux autorités africaines pour réveiller le potentiel de l’industrie cinématographique continentale. L’étude recommande principalement d’améliorer l’accès au financement, d’incuber des compétences et de développer une distribution efficace.

Des pays comme le Nigeria et l’Afrique du Sud  des exceptions représentant jusqu’à 500 millions de dollars de revenus cinématographiques. Selon l’étude ,« Si l’Afrique suivait l’exemple de la Chine et investissait dans l’infrastructure cinématographique, elle pourrait réaliser des recettes annuelles de 1,5 à 2 milliards de dollars ». Ces revenus sont d’autant plus envisageable avec l’attractivité grandissante des films venus d’Afrique mais  se pose la question de la place de l’État dans la réglementation du marché, largement marquée par la fraude et la piraterie.