L’Agenda 2063 est en marche. Afin d’atteindre, en temps et en heure, les objectifs de développement du Continent, l’Union africaine (UA) insiste sur l’importance de multiplier les partenariats public-privé (PPP) entre secteur public et décideurs politiques. Le plaidoyer sera une nouvelle fois porté à Antananarivo en novembre prochain.
A plusieurs reprises, l’Union africaine (UA) a insisté sur l’importance d’une plus grande implication du secteur privé dans la réalisation de ses objectifs de développement du Continent. Dans un communiqué ce samedi, l’UA a une nouvelle fois appelé les secteurs privés africains et décideurs politiques à multiplier les partenariats public-privé (PPP) pour accélérer la concrétisation des différents projets qui permettront à l’Afrique toute entière de faire des pas supplémentaires dans la réalisation de l’agenda 2063.

D’ici cette échéance, selon le document contenant les objectifs et domaines prioritaires de l’agenda, pour rappel, l’UA ambitionne d’avoir une Afrique où les pays bénéficient d’une transformation structurelle économique avec une croissance économique durable et inclusive, une diversification économique prononcée, une industrialisation locale à valeur ajoutée, un développement conséquent et une connectivité des infrastructures, un marché des capitaux conforme aux grandes économies, avec en outre des populations bien formées, aux revenus et emplois stables.

Pour davantage engager le secteur privé dans cette démarche, l’UA entend donner une nouvelle dimension au Forum du secteur privé africain dont la 11e édition se tiendra du 6 au 8 novembre à Antananarivo, à Madagascar.

«Pour améliorer l’interface et le partenariat entre l’UA, les décideurs politiques et le secteur privé et favoriser la réalisation des aspirations de l’Agenda 2063, la Commission de l’UA a décidé d’organiser [ce] forum», a indiqué l’Union.

Les PPP sont de plus en plus présentés comme la voie par excellence pour véritablement accélérer la concrétisation des projets de développement en Afrique. La seconde édition du forum de l’OMS sur la santé en Afrique en mars dernier à Praia était un autre plaidoyer pour un plus grand investissement du secteur privé en partenariat avec le secteur public afin d’améliorer la santé sur le Continent, toujours dans l’optique de l’agenda 2063.

Marc Teyssier d’Orfeuil, fondateur du Club des partenariats public-privé (PPP) en France et du Club PPP MedAfrique, pense même que «l’usage du PPP pourrait combler les retards et accélérer les investissements» en Afrique, notamment en matière d’infrastructures.
A plusieurs reprises, l’Union africaine (UA) a insisté sur l’importance d’une plus grande implication du secteur privé dans la réalisation de ses objectifs de développement du Continent. Dans un communiqué ce samedi, l’UA a une nouvelle fois appelé les secteurs privés africains et décideurs politiques à multiplier les partenariats public-privé (PPP) pour accélérer la concrétisation des différents projets qui permettront à l’Afrique toute entière de faire des pas supplémentaires dans la réalisation de l’agenda 2063.

D’ici cette échéance, selon le document contenant les objectifs et domaines prioritaires de l’agenda, pour rappel, l’UA ambitionne d’avoir une Afrique où les pays bénéficient d’une transformation structurelle économique avec une croissance économique durable et inclusive, une diversification économique prononcée, une industrialisation locale à valeur ajoutée, un développement conséquent et une connectivité des infrastructures, un marché des capitaux conforme aux grandes économies, avec en outre des populations bien formées, aux revenus et emplois stables.

Pour davantage engager le secteur privé dans cette démarche, l’UA entend donner une nouvelle dimension au Forum du secteur privé africain dont la 11e édition se tiendra du 6 au 8 novembre à Antananarivo, à Madagascar.

«Pour améliorer l’interface et le partenariat entre l’UA, les décideurs politiques et le secteur privé et favoriser la réalisation des aspirations de l’Agenda 2063, la Commission de l’UA a décidé d’organiser [ce] forum», a indiqué l’Union.

Les PPP sont de plus en plus présentés comme la voie par excellence pour véritablement accélérer la concrétisation des projets de développement en Afrique. La seconde édition du forum de l’OMS sur la santé en Afrique en mars dernier à Praia était un autre plaidoyer pour un plus grand investissement du secteur privé en partenariat avec le secteur public afin d’améliorer la santé sur le Continent, toujours dans l’optique de l’agenda 2063.

Marc Teyssier d’Orfeuil, fondateur du Club des partenariats public-privé (PPP) en France et du Club PPP MedAfrique, pense même que «l’usage du PPP pourrait combler les retards et accélérer les investissements» en Afrique, notamment en matière d’infrastructures.
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