Un communiqué parvenu à notre rédaction renseigne que dans le cadre de l’opération « 1 000 000 d’arbres » initiée pour lutter contre le réchauffement climatique et ses conséquences néfastes sur l’environnement, Sonatel, aux côtés de l’Association Nebeday, s’est engagée pour un reboisement de la réserve naturelle communautaire de Palmarin et de l’aire marine protégée de Joal.
« Une activité qui cadre parfaitement avec l’engagement du Groupe d’œuvrer pour la protection de l’environnement, un des axes stratégiques de sa Politique RSE, et vient confirmer la volonté de Sonatel de participer à la réduction de notre empreinte carbone », renseigne-t-on dans le document.
D’après la source, des agents de Sonatel, en collaboration avec l’Association Nebeday et les populations locales, ont joint leurs efforts et ont planté 30 000 propagules ce 14 octobre 2020 dans la réserve naturelle de Palmarin et l’aire marine protégée de Joal ; ce qui porte le nombre de palétuviers plantés à 103 300 en 5ans de collaboration (10000 en 2016, 21200 en 2017, 16800 en 2018, 25300 en 2019).
« Cette initiative a suscité une forte mobilisation des populations locales, qui s’est matérialisée par la présence de 110 planteurs dont des femmes des GIE Martyr de Palmarin et Mbogga Yaay de Joal, des jeunes volontaires de Palmarin, des membres du Comité de gestion de la réserve naturelle communautaire de Palmarin, ainsi que d’agents de Nebeday et de Sonatel », mentionne le document.
Toujours d’après la source, pour la 5ème année consécutive, ce reboisement vient renforcer la série de mesures initiées par le Groupe Sonatel allant dans le sens de créer une conscience environnementale auprès des populations par l’éducation et la sensibilisation sur l’importance de la protection de l’environnement, et de la préservation de la biodiversité.
« Entreprise Eco-citoyenne certifiée ISO 14001 en management environnemental, et membre du Comité stratégique du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, Sonatel œuvre en continu pour la protection de l’environnement et le bien-être des populations par l’accompagnement des projets « verts » générateurs de revenus au profit des couches les plus vulnérables en vue d’impulser une dynamique autour du maintien d’un cadre de vie sain », souligne le document.