Le cabinet Mingo Consultants, éditeur de médias, a procédé ce mercredi 24 septembre 2025 à la maison de la presse Babacar Touré à Dakar, à la présentation du magazine « Impact Business » dédié aux économies africaines. C’est un magazine bimestriel pour valoriser l’économie dans les différents pays africains.
« Nous faisons le pari de traiter l’information économique et financière africaine sans complaisance, ni complexe, mais avec un professionnalisme respectueux de l’image des pays du continent africain. Nous voulons être le miroir du développement de l’Afrique. Notre positionnement est clair. » a déclaré M. Léon Anjorin KOBOUDE, Président Directeur Général de MINDO CONSULTANTS, l’éditeur d’IMPACT BUSINESS.
Il poursuit : « Alors, vous n’êtes pas sans savoir que sur la place africaine, il y a beaucoup de magazines, beaucoup de journaux, mais très peu de magazines qui traitent de l’information économique sur le continent. Alors que l’histoire du développement du continent se déroule devant nous, et qu’il faut un narratif positif sur ce qui se fait de bien en matière de développement, en matière de politiques publiques, en matière d’investissement ».
Il estime qu’ils se sont dit qu’ils peuvent créer, mettre en place un support de communication qui respecte l’image de l’Afrique, mais qui n’est pas complaisant, mais qui demeure quand même professionnel, avoir un regard sans complaisance, mais aussi sans complexe.
« Et c’est pour cela que nous avons lancé Impact Business, qui est un support qui fait le pari de traiter de l’information économique et financière africaine, je le disais, sans complaisance ni complaisance, mais avec un professionnalisme respectueux de l’image des pays du continent africain. Nous voulons être, et j’espère que nous le sommes déjà, le miroir du développement de l’Afrique. Cela veut dire que ceux qui lisent Impact Business peuvent voir comment évoluent les pays africains à leur rythme, avec leur succès, avec leur faiblesse, mais quand même toujours un mouvement positif qu’on peut raconter », dira-t-il.
Il souligne qu’il est de ceux qui pensent qu’il n’y a pas d’autres personnes qui peuvent mieux raconter l’histoire de l’Afrique que les Africains eux-mêmes. Et c’est pour cela que, il plaide plaide et encourage les médias panafricains, parce qu’il y a un travail, même politique ou idéologique à faire.
« Nous ne pouvons pas confier notre narratif à d’autres médias qui n’ont aucun intérêt en Afrique. Voilà, donc c’est pour cela que nous avons décidé de lancer Impact Business et fort heureusement, nous constatons, nous avons eu plutôt la chance d’avoir dans cette aventure beaucoup de noms, de renoms », souligne-t-il.
Il poursuit : « Nous pensons qu’il n’y a pas une économie africaine, il y a des économies africaines parce que le Sénégal bouge avec son économie, la Côte d’Ivoire bouge avec son économie et donc chaque pays avec ses réalités et c’est ce que nous voulons faire montrer à nos lecteurs, montrer qu’on doit cesser avec cette image unique de l’Afrique. Non, l’Afrique c’est une diversité de réalités économiques et sociales. Donc quand vous lisez, quand vous prenez Impact Business, vous verrez l’actualité économique de la Centrafrique, celle du Cameroun, celle du Sénégal ».
Il souligne qu’ils sont au Sénégal d’abord pour une raison, présenter Impact Business à une association qui fait autorité dans son domaine, je vais parler du COJES.
« Et nous sommes également là pour une deuxième raison, c’est que nous préparons un spécial sur le Sénégal qui inchallah apparaîtra à la fin de l’année. Nous allons mettre en avant le travail de redressement économique que le gouvernement vient de commencer dans sa globalité, montrer quels sont les signaux d’espoir, qu’est-ce qui est fait, comment les grands travaux, leurs reprises se préparent et tout ».
Il précise que le magazine est disponible en version papier. Et ils impriment à 10 000 exemplaires distribués dans tous les pays francophones.
« Mais nous avons également une approche digitale très forte qui fait qu’environ par numéro, il y a plus de 30 000 téléchargements », conclut-il.
























