Le tribunal a renvoyé à nouveau le procès opposant la coalition And Defarat Chambre de Commerce et les autorités consulaires. A la sortie du tribunal, Birane Yaya Wane, président de la coalition And defarat chambre de Commerce s’est adressé à la presse.
« Aujourd’hui le tribunal a renvoyé à la date du 10 novembre le procès. Donc l’avocat de l’autre partie, Abdoulaye Sow et compagnie, a demandé ce renvoi. Il a insisté fermement, il a dit qu’il vient d’être constitué et qu’il avait reçu mandat de M. Abdoulaye Sow de défendre les autres. J’espère que ce n’est pas le budget de la chambre de commerce qu’ils seront payés. Donc, ils ont brillé par leur absence à ce procès. Et c’est pour la deuxième fois que ces gens ne viennent pas. Notre avocat a déploré cela devant le président du tribunal parce que c’est ahurissant que ces gens soient convoqués au tribunal et ils brillent de leur absence à ce procès », a affirmé Birane Yaya Wane.
D’après le président de la coalition And Defarat Chambre de Commerce, quand le tribunal convoque des citoyens, ils doivent répondre, c’est la moindre des choses.
« L’autre aspect lié à ce procès, je sais que si le tribunal ne donne pas mandat à la police de venir conduire ces gens-là devant le tribunal, je sais qu’ils trouveront tous les moyens de s’éclipser encore mais à la date du 10 novembre, nous en avons profité pour demander la comparution de M. Daouda Thiam qui a été le président intérimaire qui s’est battu contre vent et marée pour qu’il soit maintenu jusqu’à l’organisation des prochaines élections. Ils ont menti en saisissant le gouverneur de Dakar, en saisissant aussi le ministre du commerce pour leur dire, c’était le président de la république du Sénégal M. Macky Sall qui avait validé, qui avait cautionné l’organisation de ces élections sans tenir compte des arrêts rendus et par l’assemblée des chambres réunies la cour d’appel de Dakar et par la cour suprême du Sénégal », a martelé M. Wane.
Il estime que : « M. Abdoulaye Sow et compagnie, tous ces faussaires qui ont pris place dans l’institution consulaire, doivent dégager le plus rapidement possible sinon, nous allons organiser une riposte. Ces faussaires ne sont d’aucune utilité pour le secteur privé ».