Instagram lance Visa To Africa, une campagne qui tire avantage du pouvoir des plateformes sociales pour mettre en lumière les trésors touristiques africains. Soutenue par l’Organisation Mondiale du tourisme, ainsi que par le Ministère du tourisme et des loisirs de la Côte d’Ivoire, l’initiative, qui s’inscrit dans un contexte marqué par la pandémie du Covid-19, vise à encourager la reprise économique grâce au secteur du tourisme, tout en mettant en lumière les formidables attraits du continent africain.
Dix créateurs venus du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de la République Démocratique du Congo et de la diaspora vont grâce à leurs contenus, embarquer le public dans un voyage virtuel à travers les paysages inexplorés et les cultures méconnues d’Afrique francophone. Il s’agit de Sandy Abena, Lee Litumbe, Fader Nakhry, Nkeng Stephens, Chouchou Mpacko, Travel with Ziggy, Cheikh Moustapha, Mariam N’Diaye, Laëtitia Kandolo, mais également de Peintre Obou qui a assuré la conception d’un filtre Instagram dédié.
« Une nouvelle génération d’Africains a vu le jour, qui s’approprie les outils d’Instagram pour montrer un visage neuf, authentique et séduisant de l’Afrique. Chez Meta, nous sommes fiers d’abriter cet élan sur nos plateformes et de permettre ainsi de propulser la force narrative du continent africain » a déclaré Olivia Nloga, Responsable Communication de Meta pour l’Afrique francophone.
Le tourisme est un secteur économique important pour de nombreux pays africains. En 2019, 9% des recettes totales d’exportations du continent africain découlaient du tourisme international, pour un montant équivalent à 40 milliards de dollars américains.
Pour Elcia Grandcourt, Directrice du Département Régional Afrique à l’Organisation Mondiale du Tourisme, « les nouvelles technologies de l’information, en particulier Facebook et Instagram, ont contribué à populariser certains attraits touristiques et culturels de notre continent l’Afrique, par le phénomène des selfies, des stories et des challenges parfois partagés des centaines de fois. A l’OMT, nous sommes extrêmement encouragés par cette énergie et ce nouvel élan pour montrer la diversité de l’Afrique à un public mondial ».
Après deux années consécutives de crise, les gouvernements africains déploient de nouvelles politiques de relance économique. A côté des premiers résultats prometteurs, les experts s’accordent à reconnaître l’apport considérable des réseaux sociaux dans la vulgarisation ingénieuse des offres touristiques. En novembre 2021, l’Organisation Mondiale du Tourisme et Instagram ont ainsi uni leurs forces pour produire un Guide de relance du Tourisme et aider les destinations et les entreprises à exploiter la puissance de la narration numérique et visuelle pour toucher de nouveaux publics et renouer avec la croissance.
Cela s’ajoute à des initiatives localisées, telles que la parution en décembre 2020 du Johannesburg City Guide , suivie en juin 2021 du Abidjan City Guide , qui avaient pour objectif de soutenir les PMEs du secteur du tourisme et de l’hôtellerie, particulièrement affectées par le ralentissement de l’activité lié à la pandémie du Covid19.
« Instagram est un outil puissant pour tous les domaines de l’industrie du voyage et du tourisme. Avec des initiatives telles que Visa To Africa, nous souhaitons inciter les entreprises, les entrepreneurs, les communautés et les créateurs de contenu à partager les joyaux de l’Afrique francophone », a conclu Caroline Drucker, Directrice des partenariats chez Instagram pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique.
A propos de Meta
Meta construit des technologies qui aident les gens à se connecter, à trouver des communautés et à développer des entreprises. Lorsque Facebook a été lancé en 2004, il a changé la façon dont les gens se connectent. Des applications comme Messenger, Instagram et WhatsApp ont offert de nouvelles possibilités à des milliards de personnes à travers le monde. Désormais, Meta va au-delà des écrans 2D pour s’orienter vers des expériences immersives telles que la réalité augmentée et virtuelle, afin d’aider à construire la prochaine évolution de la technologie sociale.