« Je me suis rendue ce matin à la prison de Sébikhotane pour m’enquérir de l’état de santé de mon mari. Après 3 jours de grève de la faim, son état de santé se dégrade gravement. Il arrive à peine à marcher et à parler. Nous informons l’opinion nationale et internationale, et avisons les autorités de la nécessité de prendre toutes les dispositions afin d’éviter l’irréparable ».
Mme Niang